Je me consacre essentiellement à la fabrication et je réserve encore une petite partie de mon temps à la restauration car il me paraît primordial de continuer à travailler sur d’anciens instruments et à m’imprégner de la diversité qui existe dans la lutherie du quatuor.

    Les anciens grands maîtres italiens sont évidemment une inspiration, mais mes contemporains le sont tout autant et c’est aussi au travers de nos échanges que mon travail évolue.

     Lorsque je choisis un modèle, j’utilise la technique de François Denis pour le redessiner et parfois le modifier pour une touche plus personnelle.

   Au delà du plaisir qu’il y a dans la pratique du compas, elle me permet d’appréhender très précisément les courbes et leur enchainement, de visualiser les proportions de l’instrument et d’en retirer une logique qui sera ensuite le vecteur de mes choix, notamment concernant le placement du diapason ou le tracé des ff.

Je me consacre essentiellement à la fabrication et je réserve encore une petite partie de mon temps à la restauration car il me paraît primordial de continuer à travailler sur d’anciens instruments et à m’imprégner de la diversité qui existe dans la lutherie du quatuor.

Les anciens grands maîtres italiens sont évidemment une inspiration, mais mes contemporains le sont tout autant et c’est aussi au travers de nos échanges que mon travail évolue.

Lorsque je choisis un modèle, j’utilise la technique de François Denis pour le redessiner et parfois le modifier pour une touche plus personnelle.

Au delà du plaisir qu’il y a dans la pratique du compas, elle me permet d’appréhender très précisément les courbes et leur enchainement, de visualiser les proportions de l’instrument et d’en retirer une logique qui sera ensuite le vecteur de mes choix, notamment concernant le placement du diapason ou le tracé des ff.